Claudio D’Ambrosio
For the migrants who leave their homes in Africa to reach Europe, the process can be quite difficult, dangerous, and intimidating. For those represented in books such as Les Clandestins, by Youssouf Amine Elalamy, or films such as Harragas, directed by Merzak Allouache, their voyages are shrouded in death and suffering. These two aforementioned works focus on a group of clandestine migrants who have left behind everything to immigrate to Europe, specifically Spain. Unfortunately, the migrants described in Les Clandestins never reach their destination. Likewise, the majority of the migrants portrayed in Harragas succumb to the Mediterranean and all of its hurdles. For many reasons, the route between North Africa and Europe isn’t easy in the slightest. Such works as Les Clandestins and Harragas, though works of fiction, help readers and viewers broaden their understanding of, and humanize, the complex phenomena of migration and immigration.
Pour les migrants qui quittent leurs pays en Afrique pour rejoindre l’Europe, le processus peut être très difficile, dangereux, et intimidant. Pour ceux qui ont été représentés dans des livres comme Les Clandestins, par Youssouf Amine Elalamy, ou le film Harragas, réalisé par Merzak Allouache, leurs traversées sont enveloppées par la souffrance et la mort. Ces deux œuvres susmentionnées se focalisent sur un groupe de migrants clandestins qui laissent tout pour immigrer en Europe, particulièrement en Espagne. Malheureusement, les migrants décrits dans Les Clandestins n’atteindront jamais leur destination. De même, la majorité des migrants représentés dans Harragas succombent à la Méditerranée et tous ses obstacles. Pour plusieurs raisons, la route entre l’Afrique du Nord et l’Europe n’est pas facile du tout. Les œuvres comme Les Clandestins et Harragas, bien qu’elles soient fictives, aident les lecteurs et les spectateurs à élargir leur compréhension, et l’humanisation, des phénomènes si complexes qui sont la migration et l’immigration.